En tant qu’Adjoint en charge de
la mobilité douce et urbaine,
pouvez-vous nous en dire plus sur ces concepts ?
La mobilité douce et urbaine est l’alternative respectueuse de l’environnement à l’usage individuel de la voiture en ville. Elle regroupe des formes actives de mobilité, comme la marche ou le vélo, mais aussi les transports en commun ou l’autopartage. Pour beaucoup d’entre nous, mobilité rime avec voiture. Or les alternatives prennent moins de place dans la rue et sont souvent plus rapides, meilleures pour la santé et moins polluantes !
En quoi les questions de réchauffement climatique et de développement durable influencent-elles les décisions politiques de la Ville ?
Le réchauffement climatique n’est plus remis en cause. Au contraire, nous nous rendons compte tous les ans de ses conséquences ! Il faut donc réduire drastiquement notre consommation énergétique. Cela passe par le fait d’encourager ceux qui peuvent se passer de voiture à le faire ! Il faut donc des cheminements piétons plus agréables, des itinéraires cyclables lisibles et un réseau de bus plus attrayant.